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Jacques Martin
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Christies,
Paris
Bande Dessinée et Illustration, Lot 82
20.Nov - 20.Nov.2019
Bande Dessinée et Illustration, Lot 82
20.Nov - 20.Nov.2019
Estimate: XX.XXX
Price realised: XX.XXX
Price realised: XX.XXX
Description
Encre de Chine pour la couverture du cinquième volume de la série.
42x31 cm.
Casterman, 1978.
« Si mon père s’est adjoint la collaboration de Gilles Chaillet pour le dessin des planches, il a gardé pour lui l’entièreté de la réalisation de la couverture, et bien sûr l’encrage qu’il affectionnait tout particulièrement.
Pour cette illustration, il revient à ses fondamentaux et s’inspire de ses albums mythiques : Alix l’intrépide, mais surtout L’Île maudite.
La comparaison graphique est flagrante : le pourtour est fortement assombri et, dans le centre très lumineux, le héros domine l’action.
À l’arrière-plan, comme pour Alix l'intrépide, les feux apocalyptiques cernent une montagne rappelant furieusement le mont Cervin.
Cependant, si pour les albums d’Alix, le héros montre son courage et son audace en venant à la rencontre du lecteur avec le glaive à la main, ici, dans cette époque contemporaine, mon père dessine Lefranc en fuite, terrorisé, cherchant à se mettre à l’abri de la menace.
42x31 cm.
Casterman, 1978.
« Si mon père s’est adjoint la collaboration de Gilles Chaillet pour le dessin des planches, il a gardé pour lui l’entièreté de la réalisation de la couverture, et bien sûr l’encrage qu’il affectionnait tout particulièrement.
Pour cette illustration, il revient à ses fondamentaux et s’inspire de ses albums mythiques : Alix l’intrépide, mais surtout L’Île maudite.
La comparaison graphique est flagrante : le pourtour est fortement assombri et, dans le centre très lumineux, le héros domine l’action.
À l’arrière-plan, comme pour Alix l'intrépide, les feux apocalyptiques cernent une montagne rappelant furieusement le mont Cervin.
Cependant, si pour les albums d’Alix, le héros montre son courage et son audace en venant à la rencontre du lecteur avec le glaive à la main, ici, dans cette époque contemporaine, mon père dessine Lefranc en fuite, terrorisé, cherchant à se mettre à l’abri de la menace.