L'Atlas
Paris Pekin, 2009
Found at
Artcurial
Street Art, Lot 280
22. Jan - 22. Jan 2013
Street Art, Lot 280
22. Jan - 22. Jan 2013
Estimate: XX.XXX
Price realised: XX.XXX
Price realised: XX.XXX
Description
Acrylique sur toile
signée, titrée et datée au dos "L'ATLAS, Paris Pekin, 2009"
h: 200 w: 200 cm
Provenance : Gallery Nine 5, New York
Collection particulière, Paris
Commentaire : L'Atlas est un artiste français né en 1978. Il étudie la calligraphie et s'intéresse particulièrement au koufi, écriture géométrique dont il transpose les codes dans l'alphabet latin, créant ainsi sa propre typographie. Il développe parallèlement un univers pictural où il conduit méthodiquement l'écriture vers l'abstraction.
Le point de départ de chacun de ses motifs est un mot, généralement son nom d'artiste, choisi en référence aux atlas géographiques. Ce nom est écrit avec sa typographie géométrique spécifique, souvent cryptée au point de devenir illisible, soit de gauche à droite, soit autour d'un axe. Lorsqu'il n'en fait pas le sujet de ses toiles, il appose ses motifs sur le sol ou sur les murs des villes, dans le cadre de performances officielles ou d'interventions sauvages.
Il mène également depuis dix ans le projet de composer une vaste collection d'empreintes de détails du sol des villes, notamment des plaques d'égout, toujours singulières selon les lieux. Cette collection est réalisée sur des toiles qu'il appose sur le sol et tend ensuite sur des châssis. La toile présentée ici (lot 280) a été réalisée sur le sol de Pékin. Elle présente la particularité d'être rouge (couleur rarement utilisée par l'artiste dans cette série), et de déborder du cercle de la plaque elle-même pour s'intéresser au lieu lui-même, et non seulement au motif de la plaque.
signée, titrée et datée au dos "L'ATLAS, Paris Pekin, 2009"
h: 200 w: 200 cm
Provenance : Gallery Nine 5, New York
Collection particulière, Paris
Commentaire : L'Atlas est un artiste français né en 1978. Il étudie la calligraphie et s'intéresse particulièrement au koufi, écriture géométrique dont il transpose les codes dans l'alphabet latin, créant ainsi sa propre typographie. Il développe parallèlement un univers pictural où il conduit méthodiquement l'écriture vers l'abstraction.
Le point de départ de chacun de ses motifs est un mot, généralement son nom d'artiste, choisi en référence aux atlas géographiques. Ce nom est écrit avec sa typographie géométrique spécifique, souvent cryptée au point de devenir illisible, soit de gauche à droite, soit autour d'un axe. Lorsqu'il n'en fait pas le sujet de ses toiles, il appose ses motifs sur le sol ou sur les murs des villes, dans le cadre de performances officielles ou d'interventions sauvages.
Il mène également depuis dix ans le projet de composer une vaste collection d'empreintes de détails du sol des villes, notamment des plaques d'égout, toujours singulières selon les lieux. Cette collection est réalisée sur des toiles qu'il appose sur le sol et tend ensuite sur des châssis. La toile présentée ici (lot 280) a été réalisée sur le sol de Pékin. Elle présente la particularité d'être rouge (couleur rarement utilisée par l'artiste dans cette série), et de déborder du cercle de la plaque elle-même pour s'intéresser au lieu lui-même, et non seulement au motif de la plaque.